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ADHESION 2021

Rejoignez-nous et soutenez nos actions en 2021 :

  • pour la reconnaissance statutaire du métier de collaborateur parlementaire et de groupe, à l’Assemblée nationale et au Sénat, avec l’ouverture d’un véritable dialogue social, la négociation d’une convention collective et de l’ensemble des points relatifs aux conditions de travail de notre profession
  • pour le respect du code du Travail par l’employeur et de ses obligations de sécurité physiques et psychologiques au travail, de prévention des situations de harcèlement sexuel ou moral, d’égalité professionnelle, etc.
  • pour l’assistance juridique individuelle aux collègues en difficulté dans le cadre des relations du travail !

Pour nous rejoindre remplissez et adressez nous le bulletin d’adhésion ci-joint pour 2021.

Bienvenue !

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2019 – 6 juin – Déontologie – réunion d’info des collaborateurs de députés

Nous organisons avec nos partenaires, syndicats et associations de collaborateurs parlementaires de députés, une réunion d’information :

le 6 juin 2019,

de 16H à 18H

salle Victor Hugo à l’AN,

en présence de la déontologue, Mme Agnès ROBLOT-TROIZIER

et de la référente harcèlement Mme Marianne BRUN.

Une séance de questions réponses est prévue pour parler de vos droits, de l’évolution de votre métier, des difficultés auxquelles vous vous heurtez et des situations de #harcèlement au Travail.

Les sept organisations syndicales présentes à l’Assemblée nationale vous invitent à une réunion d’information transpartisane, un temps d’échanges sur les conditions de travail et de rémunération, sur les types de contrats et sur les avancées que nous avons obtenues depuis le début de la présente législature,pour tous les collaborateurs parlementaires et dans l’intérêt de la profession.

Nous comptons sur vous !

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2018/10/31 – Accords collectifs pour les collaborateurs parlementaires de députés

Veuillez trouver ci-dessous le texte des accords collectifs applicables aux collaborateurs de députés, signés le 31 octobre entre les cinq organisations représentatives au niveau national, l’UNSA USCP, premier syndicat constitué pour représenter les collaborateurs parlementaires de députés depuis 1999,  ayant participé aux négociations de ces accords à  titre d’observateur, le principe de la représentativité nationale ayant été retenu par les employeurs dans ces négociations :

accords collectif pour les collaborateurs parlementaires de députés – 311018

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2018/11/14 – Prime de fin d’année à l’Assemblée nationale

Avant l’échéance, nous avons jugé utile d’adresser un rappel d’information à l’ensemble des collaborateurs et collaboratrices de députés, le 14 novembre 2018.

 

texte adressé par message électronique :

Chers collaborateurs/trices,

Je me permets de vous transmettre une information qui pourra, en cette période fin d’année, intéresser votre député(e) concernant la possibilité dont il ou elle dispose pour abonder son crédit collaborateur via sa DMD (dotation matérielle des députés), afin d’octroyer à ses collaborateurs/trices une prime de fin d’année.

Attention : la date butoir est fixée au jeudi 6 décembre pour la prime de fin d’année versée au mois de décembre.

Depuis le 24 janvier 2018, le Bureau de l’Assemblée a arrêté une nouvelle modalité d’imputation des dépassements du crédit collaborateur applicable à compter du 1er janvier 2018. Alors que les dépassements du crédit collaborateur étaient précédemment directement imputés sur l’avance de frais de mandat (AFM), ils sont désormais prélevés automatiquement sur la dotation matérielle des députés.

Les députés peuvent donc utiliser librement cette enveloppe pour abonder le crédit collaborateur, notamment en attribuant à leur(s) collaborateurs/trices une prime en fin d’année.

Votre député(e) peut suivre à tout moment le solde de sa DMD en consultant le « tableau de bord » accessible via le portail du député.

Pour rappel, la DMD se substitue aux forfaits courrier, de téléphone et de taxi. Elle se monte annuellement à 18 950 € pour un député de métropole, à 22 420 € pour un député des départements d’Outre-Mer, à 25 040 € pour les députés issus des Collectivités d’Outre-Mer, à 25 655 € pour les députés représentant des Français établis hors de France (RFE) intra-européens et à 31 595 € pour les députés RFE extra-européens.

L’accès au formulaire permettant le versement d’une prime exceptionnelle se trouve ici !

Bien cordialement à vous tous.

Astrid MORNE

Secrétaire générale adjointe

Syndicat des collaborateurs parlementaires

UNSA USCP – Assemblée nationale

contact :

Tél. : 01 40 63 63 27

https://unsauscp.com/

Formulaire d’adhésion téléchargeable

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2018/11/29 – Les questeurs de l’Assemblée nationale fragilisent en catimini la situation des collaborateurs parlementaires

Communiqué de presse – 29 novembre 2018

LE COLLÈGE DES QUESTEURS DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE FRAGILISE EN CATIMINI LA SITUATION DES COLLABORATEURS PARLEMENTAIRES

L’Union Syndicale des Collaborateurs Parlementaires UNSA-USCP a appris avec stupeur que le Collège des questeurs de l’Assemblée nationale avait décidé, à la faveur de sa réunion hebdomadaire, le 22 novembre 2018, de permettre le paiement des stagiaires et apprentis au moyen de l’enveloppe destinée aux rémunérations des collaborateurs parlementaires.
Cette décision a été rendue sans aucune concertation préalable des syndicats de collaborateurs parlementaires alors que ces derniers sont conviés, dès 12 décembre, à engager des négociations quant à la rémunération des collaborateurs parlementaires.
Cette décision, qui a sans doute pour objet de préserver l’enveloppe AFM (d’Avance de Frais de Mandat) des députés, aura pour conséquence de fragiliser un peu plus la situation des collaborateurs parlementaires.
Jusqu’à présent, les stagiaires étaient rémunérés sur l’enveloppe AFM, qui s’élève à 5 373 € et destinée à aider les députés à faire face aux diverses dépenses liées à l’exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l’Assemblée.
Fin 2017, le Collège des questeurs avait acté une augmentation de 10 % du montant de l’enveloppe globale consacrée aux rémunérations des collaborateurs à compter du 1er janvier 2018. Le crédit collaborateur s’élève désormais à 10 581 €, mais l’absence de concertation sur cette augmentation qui, a priori, était une bonne nouvelle, s’est traduite par l’absence effective d’augmentation de salaire en faveur des collaborateurs. Pire, le Collège des questeurs a récemment autorisé le report du crédit collaborateur d’une année sur l’autre, incitant les députés à thésauriser plutôt qu’à rémunérer correctement leurs équipes de collaborateurs ou à payer les heures supplémentaires qui sont leur lot commun.
L’Union Syndicale des Collaborateurs Parlementaires UNSA-USCP demande à être reçue d’urgence par le Collège des questeurs avec les autres organisations syndicales de collaborateurs de députés. L’UNSA-USCP demande enfin à ce que le Collège des questeurs soit dûment représenté à chacune des réunions qui doivent avoir lieu, dès le 12 décembre, dans le cadre des négociations collectives sur les rémunérations des collaborateurs parlementaires de l’Assemblée nationale. Il en va de la sincérité des débats.

contact :
Astrid MORNE
Secrétaire générale adjointe du
Syndicat des collaborateurs parlementaires
UNSA USCP – Assemblée nationale

Tél. : 01 40 63 63 27 / 06 81 37 20 22
https://unsauscp.com/

lire notre communiqué de presse du 291118

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2018/07/12 – Hausse de la dotation de rémunération des collaborateurs parlementaires – Danger de précarisation !

De vrais emplois, pas de micro contrats !

Lors de la réunion d’information du 12 juillet 2018, le président de l’Agas, M. Gabouty, a confirmé la décision d’augmenter de 10% le montant de la dotation de rémunération des collaborateurs parlementaires de sénateurs. Cette hausse devrait entrer en vigueur le 1er octobre 2018, avec un an de retard par rapport à l’Assemblée nationale.

Cependant, si elle peut paraître flatteuse sur le papier, cette revalorisation inquiète notre organisation syndicale car elle est conditionnée à la suppression du seuil minimal de rémunération pour un contrat à temps partiel, soit actuellement 20/150e de ladite dotation, pour le rabaisser à 15/150e.

Précarisation de la profession

Nous avons fait part de notre opposition à la baisse du seuil, qui conditionne cette hausse.

Depuis de nombreuses années, l’UNSA demande, en priorité, une revalorisation de l’indice salarial pour l’ensemble de la profession. A niveau de diplôme égal, notre rémunération moyenne reste en deçà d’environ 20% par rapport aux moyennes salariales calculées par l’INSEE.

La décision prise par l’Agas précarise davantage notre profession en instaurant un nouveau seuil dérogatoire pour les mi temps. L’UNSA USCP rappelle que les employeurs devraient saisir cette occasion pour créer des emplois pérennes, plutôt que des micro contrats, synonymes de précarisation

Selon nos informations, certains employeurs voudraient ainsi être en mesure d’embaucher des personnes, par exemple, pour les accompagner dans leurs déplacements le week-end, qui un chauffeur, qui un photographe, un attaché de presse ou encore un étudiant pouvant réaliser une recherche thématique, ou enfin, un comptable pour assurer les déclarations de dépenses de fonctionnement sur le nouvel outil informatique. L’UNSA a aussitôt indiqué que cette liste à la Prévert correspondait à des prestations de service, aucunement à des emplois de collaborateur parlementaire, tels que définis dans la fiche de poste officielle.

Verrou

En réponse au refus des représentants de la profession, un aménagement de cette mesure dérogatoire a été envisagé et conditionné par un verrou, à la demande des organisations syndicales : il serait possible à un sénateur de recruter un collaborateur en dessous du seuil actuel des mi temps à la condition que le salarié bénéficie déjà d’au moins un autre contrat de travail comme collaborateur parlementaire d’au moins un mi temps avec un sénateur et qu’il ne puisse avoir qu’un seul contrat dérogatoire. De plus, un sénateur ne pourrait employer qu’une seule personne avec ce type de micro contrat.

Le métier de collaborateur parlementaire est constitué à plus de 55% de diplômés de niveau Bac + 4 ou 5. Il a récemment été défini au Sénat par une fiche de poste comptant des tâches diversifiées et qualifiées. Les sénateurs disposent de moyens autres que leur dotation collaborateur parlementaire pour rémunérer un(e) comptable, chauffeur, photographe…. L’inquiétude est d’autant plus grande que, suite au dernier renouvellement sénatorial, le nombre de collègues à temps partiel s’est encore alourdi.

Statistiques AN et Sénat

De surcroît, malgré des demandes répétées auprès des services de l’Assemblée nationale, nous n’arrivons pas à savoir combien de collaborateurs de députés ont réellement bénéficié, in fine, de la hausse de la dotation décidée en 2017 à l’Assemblée nationale. Cette absence de réponse nous laisse supposer qu’un très petit nombre de nos collègues ont été bénéficiaires de cette mesure. Le risque est grand qu’il en soit de même pour les collaborateurs de sénateurs, d’autant que le transfert des dotations vers les groupes restent possibles au Sénat.

Impact de la réforme de la Constitution sur la profession de collaborateurs parlementaires

Dans la perspective de la réforme de la constitution qui tendrait à réduire de 30% le nombre de parlementaires, l’UNSA USCP rappelle que le travail ne diminuera pas en quantité, bien au contraire, le nombre de sollicitations des acteurs socio-économiques continuera d’augmenter. Le risque de surcharge de travail pour les équipes de chaque parlementaire est avéré.

Emplois dignes et pérennes face à la hausse du coût de la vie

Dans ce contexte, l’UNSA exprime de fortes inquiétudes et invite les parlementaires à créer des emplois dignes et pérennes pour permettre aux salariés qui les assistent dans leur mandat de faire face à l’augmentation constante du coût de la vie sur tout le territoire : logement, transport, carburant, automobile, panier repas, etc.

Mise à niveau des dotations Collaborateur parlementaire, pour les sénateurs et les députés

En outre, dans la perspective de l’ouverture prochaine d’un dialogue social, ils rappellent une évidence : la dotation attribuée aux sénateurs pour rémunérer leurs collaborateurs parlementaires, de 7638,95 euros bruts, reste très inférieure à celle des députés, dont le crédit mensuel pour rémunérer ses salariés est de 10 581 € pour un même travail.

La mise à niveau de ces deux dotations serait une décision urgente et cohérente.

Calendrier inapproprié

Enfin, l’UNSA USCP regrette que cette décision intervienne alors même que les négociations sont en cours pour déterminer les conditions d’organisation du dialogue social à compter du début de l’année 2019 : organisation d’élections professionnelles, statut et mise en place d’une instance de dialogue social pour négocier des accords collectifs et élaborer le statut de la profession de collaborateur parlementaire, conformément aux dispositions de la loi confiance.

 

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2016 2017 ACTU Courriers Uncategorized Unsa

Elections sénatoriales 2017

Point sur nos principales revendications dans la perspective des élections en 2017

Courriel adressé aux collaborateurs parlementaires le 23 novembre 2016

Cher(s) Collègue,

Après le salon Staff, avant l’examen du projet de loi de Finances pour 2017 et la tenue de notre prochaine assemblée générale, nous tenons à porter à votre information le récapitulatif suivant concernant les actions de l’UNSA USCP en faveur de notre profession :

– Dans la perspective des élections sénatoriales de septembre 2017, nous demandons, comme désormais à chaque renouvellement, la mise en place d’un plan d’aide au reclassement et l’adoption d’une prime de précarité pour les fins de mandat. Environ 300 d’entre nous pourraient se retrouver sans emploi au Sénat et 1 000 à l’Assemblée Nationale. Un travail de qualification est également nécessaire concernant le statut des indemnités de fin de contrat avec des conséquences sur leur régime fiscal. Nous invitons aussi les présidents de groupe à désigner une personne référente en leur sein pour organiser une bourse aux CV à destination des sénatrices et sénateurs nouvellement élus. Il est également impératif que les nouveaux élus soient informés et formés sur leurs responsabilités en tant qu’employeur.

– Accords collectifs sur la précarité à l’Assemblée nationale : le Sénat encore en retard sur l’AN 

Alors que depuis 2003 nous nous battons pour négocier une convention collective,ce sont les députés qui viennent de signer les premiers accords historiques entre la nouvelle association de députés employeurs, créée et mandatée pour remplir cette mission, et les organisations syndicales.Ces accords portent sur le temps de travail et la compensation de la précarité, notamment. En voici une présentation succinte  :

  • instauration d’une indemnité de précarité en fin de mandat dont le montant serait calculé comme suit ‘évalué à environ 26 millions d’euros pour les 1 000 collaborateurs ayant perdu leur emploi) :
    • pour une ancienneté dans le contrat de moins de 2 ans = 1/90e rémunération mensuelle par mois d’ancienneté
    • pour une ancienneté entre 2 et 4 ans 6 mois = indemnité de licenciement légale + 1/2 de l’indemnité légale de licenciement
    • au delà de 4 ans et 6 mois d’ancienneté = indemnité légale de licenciement + indemnité légale de licenciement dans la limite de la rémunération mensuelle
  • mise en place d’une prime d’ancienneté équivalente à 5% du salaire brut, revalorisée de 5% tous les 2 ans jusqu’à 16 ans d’ancienneté
  • participation aux frais de garde à hauteur de 336.76 eurs bruts mensuels
  • versement d’une prime mensuelle de repas 112.07 bruts (ou tickets restau)
  • 13e mois de salaire
  • prime mensuelle de prévoyance de 60 euros bruts
  • possibilité pour l’employeur de verser une prime mensuelle exceptionnelle
  • adoption du forfait jour comme référence pour le calcul du temps de travail

Campagne de lutte conte le sexisme, le harcèlement sexuel et les souffrances au Travail : après la campagne conduite en juillet dernier, nous avons été auditionnés par les présidentes des Délégations aux Droits des Femmes du Sénat et de l’Assemblée nationale. Lors d’une audition commune avec les autres organisations, Mme Jouanno nous a indiqué qu’elle prépare des recommandations à remettre au Président du Sénat en décembre (prévention, affichage, aménagement des nouveaux locaux, …), prenant en compte notre profession et nos préoccupations relatives à cette problématique.
Enfin, suite au malaise d’une collègue sur son lieu de Travail, vendredi dernier, nous avons alerté les instances du Sénat et sensibilisé les sénateurs employeurs en leur rappelant les obligations de sécurité physique et mental au Travail qui incombent aux employeurs. Ce cas de souffrance au Travail n’est pas isolé. Notre syndicat sollicite la mise en place pour notre profession, comme il en existe pour les fonctionnaires du Sénat, d’un CHSCT organe représentatif apte à développer des outils d’information et de prévention pour la santé au travail. Si les salariés sont soumis à des obligations professionnelles, les employeurs doivent eux aussi remplir une obligation de sécurité physique et mentale à leurs salariés comme le prévoit la loi, conformément aux articles L4121-1 et L4121-2 du code du Travail.Ainsi, l’article L4121-1 prévoit : « l’employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs ». L’article L. 4121-2 du code du travail détaille les mesures de prévention prévues à l’article L. 4121-1 comme, par exemple, dans son alinéa 1°) « Eviter les risques » ou dans son alinéa 9°) « Donner les instructions appropriées aux travailleurs ».

L’absence de CHSCT conduisant à un défaut de prévention et d’information, nous pallions cette situation en tant qu’organisation syndicale constituée en tant que telle depuis 2003, mais nous sommes toujours en attente d’une négociation annuelle sur la santé, sur les salaires ou encore sur la négociation d’une convention collective et l’attribution des moyens de l’exercice du droit syndical. En l’absence d’un cadre réglementaire, l’UNSA USCP a lancé en juillet dernier une campagne de prévention intitulée « Stop harcèlement sexuel et moral ». Le Président du Sénat ayant initié un groupe de réflexion contre le sexisme et le harcèlement sexuel au Travail, nous venons de lui adresser une demande en vue d’organiser une consultation pour lutter contre le harcèlement moral au travail pour les collaborateurs parlementaires que nous représentons.

40e anniversaire de la profession : un comité de pilotage conjoint aux syndicats et aux associations du Sénat et de l’Assemblée Nationale s’est constitué, à notre initiative, en vue d’organiser un événement à l’occasion du 40e anniversaire de notre métier. La prochaine date de réunion est prévue le 25 novembre. Si vous êtes intéressés par y participer, faites le nous savoir et nous vous mettrons dans la boucle d’info.

– Questions diverses :
De nombreuses questions restent à éclaircir : premier bilan de la réforme des Mutuelles, récent courrier reçu de l’Agas sollicitant chacun pour signer un avenant au contrat retraite, sans info préalable, mise à disposition d’un local syndical, revalorisation des salaires, ..

 

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