Au Parlement, la question sociale et la question déontologique sont intimement imbriquees, c’est ce que nous avons voulu rappeler aux candidats à l’élection présidentielle 2017, avant de leur demander de contribuer à instaurer un dialogue social conforme au droit du Travail, entre les parlementaires employeurs et leur collaborateurs parlementaires.
Tout reste à faire !
Le vide juridique actuel conduit à des dérives comme l’ont démontré les abus dénoncés dans la presse pendant cette campagne des présidentielles, portant préjudice à l’image de notre profession.
De surcroît, il entretient des situations de travail qui ne trouvent leur équivalent dans aucune autre branche professionnelle et ne sont compensées ou aménagées par aucun accord collectif négocié avec les représentants des salariés en bonne et due forme.
Pourtant, en 2017 par exemple, plus de 1400 collaborateurs parlementaires perdront leur emploi suite aux élections, sans aucun plan social, ni à l’Assemblée nationale ni au Sénat.
lire le courrier de l’intersyndicale des CP aux candidats à l’élection présidenteille 2017
Un seul candidat a répondu à notre courrier, M. HAMON.
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